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Le Pilatus PC-6 Porter, propulsé à l'origine par un flat-six Lycoming, a volé pour la première fois en 1959. Le Turbo-Porter amélioré avec un moteur turbopropulseur a rapidement suivi. Au fil des années, ces beaux avions ont ensuite parcouru les cieux avec les Turbomeca Astazou II, les Garret Air Research TPE 331 et enfin les moteurs Pratt & Whittney Canada PT6A (environ 70 % de tous les produits).
Les incroyables capacités de décollage et d’atterrissage courts, presque semblables à celles d’un hélicoptère, ont rapidement attiré l’attention des utilisateurs militaires et civils. Les porteurs équipés de châssis à roues, de skis ou de flotteurs ont servi et servent de manière fiable et infatigable partout dans le monde - survolant les déserts, les jungles, les lacs, les montagnes, la neige et la glace - tout simplement partout. Ce n'est pas pour rien que le PC-6 détient le record du monde d'atterrissage d'un avion à la plus haute altitude - 5 750 m au-dessus du niveau de la mer, sur le glacier du Dhaulagiri au Népal.
Après avoir réalisé 604 unités en 63 ans, Pilatus a abandonné le PC-6 en 2022... Et vous pouvez désormais profiter du vol d'un semi-modèle d'envergure de 1 500 mm de cette magnifique machine propulsée par un puissant moteur Brushless !
La coque du modèle est en mousse EPO (polyoléfine extrudée) très résistante avec des renforts internes approfondis en carbone. A l'avant est installé un moteur électrique AC C3548-750 avec une hélice tripale 10x6" et un régulateur KAVAN R-40SB avec un puissant stabilisateur de puissance BEC nécessaire pour alimenter les 6 servos à bord. À l'avant, sous le couvercle amovible, vous trouverez suffisamment d'espace pour la batterie de traction.
L'aile en mousse EPO du modèle est en deux parties avec des longerons en carbone et un coupleur en tube de carbone. Il est fixé en place avec des vis. Les ailerons et les volets sont contrôlés indépendamment par deux servos avec des fils machine droits courts, et il y a également des lumières LED de position et d'atterrissage fonctionnelles. Les jambes de force en carbone facilement amovibles sont maintenues en place par une paire de clips métalliques.
Les surfaces arrière sont également en mousse EPO. Le servo de gouverne de direction est logé dans la quille et le servo de profondeur dans le fuselage ; les gouvernails sont actionnés par des fils machine droits courts.
Le train d'atterrissage principal est solide, en fil de fer avec de fausses jambes de force à ressorts. L'éperon métallique est couplé au clignotant. Vous pouvez acheter un jeu de flotteurs pour le Porter - retirer le châssis de roue et installer les flotteurs et le gouvernail à eau ne prend que quelques minutes.
Le modèle est alimenté par un moteur AC de classe C3548-750 avec un régulateur KAVAN R-40SB de 40 A.
Pour l'alimentation, vous aurez besoin d'un LiPo à quatre cellules d'une capacité de 2 600 à 3 300 mAh avec une capacité de charge d'au moins 30 °C. Choisissez le type spécifique afin que la position correcte du centre de gravité vous convienne le mieux sans autre importation.
Pour contrôler le modèle en cas d'urgence, vous pouvez également utiliser un ordinateur RC à six canaux sans fonctions spéciales - dans la version de base, les ailerons, les volets, le gouvernail et les pattes avant des servos sont connectés à un seul canal à l'aide de la carte de connexion installée dans le coin cabine. La carte alimente également les lumières LED. L'idéal est, bien sûr, d'utiliser au moins un ensemble RC informatique à sept canaux permettant un contrôle indépendant des ailerons et des volets avec deux servos, ce qu'aujourd'hui même les Radiolink AT9S ou AT10II ou Futaba T6K ou T10J abordables peuvent faire. Dans ce cas, il est nécessaire de connecter séparément les servos des ailerons et des volets. Bien entendu, le manuel comprend un tableau détaillé avec des paramètres de déflexion du gouvernail par défaut éprouvés pour préparer facilement le Porter au vol, même s'il s'agit de votre premier modèle doté d'une aile « entièrement mécanisée ».
